Quel avenir pour la mémoire de la Seconde Guerre mondiale ?
À Hagondange, Ascomémo prépare son déménagement. Au fort de Queuleu, la casemate A s’apprête à vivre une année de travaux de sauvegarde. Mais au-delà, se pose la question de la mémoire de la Seconde Guerre mondiale. Le bénévolat apporte une dynamique, mais se heurte à ses limites.
Bonnes nouvelles à Hagondange et Metz. La mémoire de la Seconde Guerre mondiale est prête à prendre une nouvelle dimension. À Hagondange, après trente ans dans les murs de la Ballastière, Ascomémo* s’apprête à déménager dans un ancien entrepôt , rue des Artisans. Un lieu plus grand et surtout plus accessible aux visiteurs. En juin, le public devrait pouvoir y être accepté (sous réserve de conditions sanitaires). C’est un signe de reconnaissance pour le travail effectué et une nécessité : la Ballastière devient trop petite. Et c’est doublé d’un coup de pouce de la municipalité sortante de 250 000 €.
À Metz, l’association du fort de Queuleu a vu cette semaine arriver les engins de chantiers. C’est l’étape « travaux » du programme de sauvegarde, décidé en 2016, cofinancé par l’État, le Département, la Région et Metz, et piloté par Metz-Métropole. Un chantier à 1M€ pour sauvegarder l’étanchéité de la casemate A.
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