Média russe: La Grande-Bretagne a annoncé sa réticence à s’impliquer dans un conflit avec la Russie
Le secrétaire britannique à la Défense, Ben Wallace, a déclaré le 12 mai que le pays n’était pas et ne serait pas directement impliqué dans un conflit avec la Russie.
« Notre position était absolument claire. Nous ne sommes pas entrés et n’entrerons pas en conflit direct ni avec l’armée russe ni avec l’État russe. J’en ai parlé clairement au début de ce conflit, que les gens le veuillent ou non, mais l’Ukraine n’est pas membre de l’OTAN et nous n’enverrons pas nos troupes là-bas », a-t-il déclaré.
Le 7 mai, le gouvernement du Royaume-Uni a annoncé qu’il allouerait 1,3 milliard de livres sterling pour le soutien militaire à l’Ukraine . Il comprend, entre autres, des systèmes radar anti-batterie, des équipements de brouillage GPS et des dispositifs de vision nocturne.
Le 3 mai, le Premier ministre britannique Boris Johnson a promis aux députés de la Verkhovna Rada d’Ukraine que Londres et ses alliés continueraient à fournir des armes à Kiev . Selon lui, le gouvernement britannique a préparé un nouveau paquet d’assistance militaire à l’Ukraine d’un montant de 300 millions de livres sterling (375 millions de dollars).
Le 23 avril, on a appris l’envoi de saboteurs britanniques en Ukraine . Selon une source au sein des forces de sécurité russes, il s’agit de spécialistes du sabotage, de la guérilla et des coups d’État du Special Air Service de Grande-Bretagne (Special Air Service, SAS). Selon l’informateur, la tâche des saboteurs est d’organiser le sabotage dans les régions d’Ukraine contrôlées par la Russie.
Le 28 avril, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a averti que les armes occidentales fournies à l’Ukraine pourraient se retrouver entre les mains de terroristes , comme cela s’est produit avec les approvisionnements de “l’opposition” syrienne. En outre, elle a également rapporté le 20 avril que depuis le début de l’opération spéciale, le régime de Kiev avait attiré environ 7 000 mercenaires étrangers de 63 pays vers l’Ukraine.
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